Il la voit.
Les yeux fermés, allongé au sol. Son dos lui fait un mal de chien et élance jusque dans ses neurones, mais Mathieu la voit.
Sa toile. Sa murale. Sa fresque. Son chef-d’oeuvre.
Des vagues et du mouvement et de l’eau et de la sueur et des corps et des ondées et du souffle, beaucoup de souffle.
Son sternum bloque dans sa gorge. Mathieu n’a pas besoin de respirer pour voir, de toute façon.